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J'AI AIMÉ JACOB,
ET J'AI HAÏ ÉSAÜ

par le Dr. R. L. Hymers, Jr.

Sermon prêché au Baptist Tabernacle de Los Angeles
le matin du Jour du Seigneur, le 22 janvier 2012

« Selon qu'il est écrit, j'ai aimé Jacob et j'ai haï Ésaü »
(Romains 9:13).


Notre étude quotidienne de la Bible porte actuellement sur le Livre de la Genèse, et nous avons lu récemment le récit de Jacob et d'Ésaü. Ils étaient les fils jumeaux d'Isaac et de Rebecca. Il est écrit dans le livre de Malachie, « Ésaü n’était-il pas frère de Jacob ? dit le Seigneur ; cependant j’ai aimé Jacob et j’ai haï Ésaü » (Malachie 1:2, 3). Dans le Nouveau Testament, l'apôtre Paul cite à partir de ce livre, « Selon qu'il est écrit, j'ai aimé Jacob et j'ai haï Ésaü » (Romains 9:13). Pourquoi Dieu a-t-il aimé Jacob plus qu'Ésaü ? D'une certaine manière, Jacob était un plus grand pécheur qu'Ésaü. Jacob était un menteur et un voleur. Et pourtant Dieu a aimé Jacob et haï Ésaü. Et pourquoi donc ? Paul nous dit que, théologiquement, Jacob était un des élus et Ésaü ne l'était pas. (Romans 9:11). Quelles en sont les implications pour leurs vies ? Si nous lisons le récit de Jacob et de son frère Ésaü, nous apercevons une différence essentielle entre ces deux hommes.

I. Premièrement, Ésaü était quelqu'un qui ne pensait vraiment pas à Dieu.

Si vous lisez le récit de la vie d'Ésaü dans le Livre de la Genèse, vous découvrirez qu'Ésaü ne mentionne pas le nom de Dieu, ne serait-ce qu'une seule fois. Hébreux 12:16 appelle Ésaü une « personne profane. » Le terme grec traduit par « profane » est « bebēlos. » W. E. Vine dit que ce terme signifie quelqu'un qui « n'a aucune relation ou affinité [ou connexion] avec Dieu. » Ésaü n'a jamais montré qu'il était sérieux au sujet de Dieu. Dieu n'était pas l'objet de ses pensées.

Ésaü était un chasseur, ce qu'on appellerait un homme « tout terrain. » Un jour, comme il revenait d'une chasse, il vit Jacob qui avait cuisiné un ragoût. Jacob offrit à Ésaü une portion en échange de son droit d'aînesse. Ésaü méprisa son droit d'aînesse et le donna à Jacob en échange d'une portion de ce ragoût. Moody dit « Rien ne fut aussi coûteux que ce ragoût, si ne n'est le fruit défendu. » Ésaü chercha à satisfaire son besoin physique [appétit] et ainsi perdit à jamais la bénédiction spirituelle pour lui est sa descendance.

Plusieurs années passèrent, Isaac avait bien vieillit, et il était aveugle de surcroît. Il appela Ésaü et lui demanda d'aller lui chercher un cerf et lui préparer un plat de venaison, comme il aimait en manger. Alors qu'Ésaü était à la chasse, la mère de Jacob prépara un ragoût avec de la viande de chèvre et lui donna le goût de venaison. Jacob amena le plat à son père et prétendit être Ésaü. Il arriva à tromper son vieux père aveugle et Isaac lui donna la bénédiction réservée à l'aîné, pensant qu'il était Ésaü. La bénédiction était prophétique, et vint à exécution exactement comme Isaac l'avait donnée, car il parlait sous l'inspiration.

Lorsqu'Ésaü revint de la chasse, il apprit que son frère l'avait dépouillé de son droit d'aînesse. Il chercha sa bénédiction aussitôt, mais c'était trop tard. Le Livre des Hébreux dit,

« De peur qu’il ny ait quelque fornicateur, ou profane comme Ésaü, qui, pour un morceau de viande vendit son droit d’aînesse. Car vous savez comment après, lorsqu’il voulut hériter de la bénédiction, il fut rejeté, car il ne trouva pas de lieu à la repentance, quoiqu’il l’ait recherchée avec larmes »
      (Hebreux12:16-17).

Remarquez qu'Ésaü chercha son héritage et la bénédiction, mais il ne chercha point Dieu. Il chercha « la chose », mais il ne chercha pas Dieu. Il chercha « la bénédiction » avec des larmes, mais il ne se mit jamais en quête de Dieu. Vous voyez, Ésaü ne pensait jamais à Dieu. Dieu n'était pas l'objet de ses pensées. Et c'est là que Dieu dit, « Selon qu'il est écrit, j'ai aimé Jacob et j'ai haï Ésaü » (Romains 9:13).

Ésaü ne pensait jamais à Dieu ! C'était son défaut, la faille. Ésaü n'a jamais mentionné Dieu une seule fois dans tout le livre de la Genèse. Pensez-y – Ésaü était né et avait été élevé dans la maison du Patriarche Isaac – et pourtant, jamais il n'a mentionné le nom de Dieu !

Vous pouvez grandir dans l'église et ne jamais penser à Dieu, quand vous vous retrouvez seul(e). Mais rappelez-vous que c'est seulement quand vous êtes seul(e) qui compte ! Autrement, « Dieu » est juste un mot que vous utilisez à l'église, et qui n'a aucune réelle signification dans votre vie. La Bible dit, « Le méchant dit avec [l'orgueil de l'] arrogance : Il [Dieu] ne punit pas ! Voilà toutes ses pensées ! » (Psaume 10:4). Nous pourrions le traduire par, « Il n'y a pas de place pour Dieu dans ses pensées. » Pensez-vous à Dieu quand vous êtes seul(e) ? Priez-vous Dieu quand vous êtes seul(e) ? Ne pensez-vous jamais à ne pas offenser Dieu quand vous êtes seul(e) ? Vous sentez-vous quelquefois coupable, parce que Dieu a vu votre péché, quand vous êtes seul(e) ? « Le méchant dit avec [l'orgueil de l'] arrogance : Il ne punit pas ! Il n'y a point de Dieu ! Voilà toutes ses pensées » (Psaume 10:4) – et dans la somme de toutes ses pensées il n'y a aucune place pour Dieu !

« L'orgueil de son arrogance » fait référence à une attitude moqueuse et sarcastique, accompagnée de ricanements. Dans mon esprit revient le visage d'un jeune homme qui est venu dans notre église il y a très longtemps. Je peux encore voir son air d'impie, son sourire ricanant, bien que j'aie oublié son nom depuis... J'ai croisé ce type de visage bien souvent, et dans d'autres églises. Des visages « profanes, » des visages montrant le manque de relation ou de connexion avec Dieu. Il y a quelques jours, quelqu'un m'a montré une photo où il y avait des personnes qui venaient avant à l'église. Quelle photo choquante ! Ces gens venaient autrefois tous les dimanches. Mais, un par un, ils ont quitté l'église. Quand ils étaient parmi nous, ils avaient l'air pas mal. Mais maintenant, sur cette photo, ils avaient un air diabolique. Leur visage était tordu d'une manière effrayante. Ils ressemblaient à des brutes infernales, le genre de personnes que vous auriez peur de rencontrer dans une rue sombre. Vous pouvez être sûr qu'ils ne pensent jamais à Dieu maintenant. « Le méchant dit avec [l'orgueil de l'] arrogance : Il ne punit pas ! Il n'y a point de Dieu ! Voilà toutes ses pensées. » – et dans leurs pensées, il n'y a aucune place pour Dieu !

Quand j'avais treize ans, des voisins me prirent avec eux dans une église baptiste à Huntington Park, en Californie. En premier lieu, je pensais que tous les jeunes de cette église étaient chrétiens. Mais après les avoir fréquentés un moment, je m'aperçus qu'ils se moquaient du pasteur quand ils se retrouvaient seuls. J'ai même trouvé qu'ils faisaient des plaisanteries déplacées [impudiques] et se moquaient même des cantiques que nous chantions dans l'église. Après quelque temps j'ai aussi découvert qu'ils flirtaient beaucoup entre eux, ce qui allait même jusqu'aux rapports sexuels. Je me rappelle avoir pensé, « Comment ces gens peuvent-ils dirent que seuls eux sont sauvés et que le reste du monde va en Enfer ? » Après tout, ils s'étaient tous un jour avancés devant l'autel pour réciter la prière de repentance du pécheur. Et ce n'est pas tout, ils avaient été baptisés !

Le jour où je prêchai mon premier sermon, il fut pour eux. Le leader de la jeunesse me prit ensuite de côté et me dit que j'avais tort, et que je ne devais jamais prêcher de nouveau de cette manière. J'avais le cœur brisé. Mais quelque temps plus tard, ce leader fut renvoyé parce qu'il avait des rapports sexuels avec certains de ces jeunes. Dieu semblait me dire, « Vas-y Robert, prêche pour moi, et ne fais pas attention à ce que pourront dire les méchants. » Et cela a été ma politique depuis 53 ans maintenant – et je ne suis pas sur le point de changer ! Ézéchiel est mon exemple. Il a dit,

« Ce sont des enfants à la face impudente et au cœur obstiné, vers lesquels je t'envoie; tu leur diras : ainsi a dit le Seigneur Dieu ! Mais toi, fils de l'homme, ne les crains point et ne crains point leurs paroles; bien que tu sois au milieu des épines et des ronces, et que tu demeures parmi des scorpions, ne crains point leurs paroles, et ne t'effraie pas de leur visage, quoiqu'ils soient une maison rebelle, tu leur annonceras donc mes paroles, soit qu'ils écoutent, soit qu'ils n'en fassent rien, car ils ne sont que rébellion » (Ézéchiel 2:4, 6-7).

Quelqu'un a dit, « Occupe-toi de tes affaires. » Mais ce sont mes affaires ! C'est ce que Dieu m'a appelé à faire ! Mes affaires, c'est de vous dire que vous êtes autant privés de Dieu qu'Ésaü ! Mes affaires, c'est de vous dire que vous n'êtes pas chrétiens ! Mes affaires, c'est de vous dire que vous allez droit en Enfer – brûler dans les flammes pour toujours ! Et encore toujours ! Et pour toute l'éternité ! C'est ça, mes affaires ! Et c'est aussi mes affaires de vous dire que vous ne pouvez être sauvés que par Jésus Christ ! C'est ça, mes affaires ! Si vous n'êtes pas purifiés par le Sang de Jésus Christ, vous resterez pour l'éternité à brûler dans les flammes du Lac de Feu ! C'est ça, mes affaires ! Si vous êtes aussi loin de Dieu que l'était Ésaü, alors il n'y a aucun espoir pour vous – soit dans ce monde, soit dans le monde à venir !

« J'ai aimé Jacob, et j'ai haï Ésaü » (Romains 9:13).

Ésaü était une personne qui ne pensait pas à Dieu. Il n'a jamais mentionné, même une fois, le nom de Dieu dans tout le Livre de la Genèse. Dans la foule de ses pensées, il n'y avait pas de place pour Dieu !

Maintenant, je voudrais vous demander, pensez-vous à Dieu quand vous êtes seul(e) ? Dieu a-t-il jamais étreint votre cœur et votre esprit ? Ces derniers mois, deux jeunes femmes sont venues dans notre église, venant du monde. Leurs familles ne sont pas chrétiennes. Elles n'ont jamais entendu de prédication comme ceci de toute leur vie. Cependant, elles se sont dit, « C'est juste. C'est ce que dit Dieu dans la Bible. C'est la vérité. » Toutes les deux vinrent rapidement à Jésus et ont été sauvées de leurs péchés par Lui. Elles peuvent dire aujourd'hui, « Nous sommes lavées de nos péchés par le Sang de Jésus ! Jésus nous a sauvées ! » Que cela puisse aussi devenir votre expérience ! Mais cela ne le sera jamais si vous n'avez pas conscience de Dieu et si vous ne pensez pas à Dieu. Certains d'entre vous essayent de se convertir, et vous êtes tristes de ne pas l'être encore. Mais songez-vous vraiment à Dieu ? Pensez-vous que vous avez véritablement péché contre Dieu – ou essayez-vous juste d'être converti – sans aucune pensée pour Dieu ? Serait-ce votre cas ? Et cela nous amène au point suivant.

II. Deuxièmement, Jacob était quelqu'un qui pensait vraiment à Dieu.

Et Dieu dit,

« J'ai aimé Jacob, et j'ai haï Ésaü » (Romains 9:13).

Ne vous méprenez pas à mon sujet. Jacob était un pécheur. Il a menti à son père Isaac. Il a volé le droit d'aînesse de son frère. Il était un menteur et un voleur. Mais par la grâce de Dieu il est devenu conscient de Dieu, et Jésus l'a sauvé. Pas tout de suite, quand même. Il a dû d'abord s'échapper pour ne pas subir la colère de son frère. Il a eu peur qu'Ésaü ne le tue pour le vol de son droit d'aînesse. Il est parti et s'est retrouvé seul dans le désert. Il a dormi à même le sol avec un caillou sous sa tête. Et Dieu est venu à Jacob dans un rêve. Et Dieu lui a dit, « ...et voici, JE SUIS avec toi, et je te garderai dans tous les endroits où tu iras » (Genèse 28:15). Et Jacob « s’éveilla de son sommeil, et dit : assurément, le Seigneur est en cet endroit, et je ne le savais pas. Et il eut peur, et dit : que cet endroit est terrible ! Ce ne peut être que la maison de Dieu, et c’est ici la porte du ciel » (Genèse 28:16-17).

Il « se réveilla de son sommeil » et il sût enfin que Dieu était véritable ! Quelle image d'un « réveil » ! Combien nous prions nous aussi que vous vous réveilliez du sommeil de la mort et réalisiez, à la fin, que « Dieu est ici. » Jacob n'était pas converti, mais il réalisa finalement que Dieu était véritable. Et pourtant, il continuait à l'appeler « le Dieu de mon père. » Il dit, « mais le Dieu de mon père a été avec moi » (Genèse 31:5). Il crût finalement qu'il y avait réellement un Dieu, mais qu'il était le « Dieu de mon père. » Ce n'était pas encore ça. Dieu ne doit pas être le Dieu de votre père, ou le Dieu du pasteur, ou de quelqu'un d'autre. Il doit être votre Dieu !

Jacob a dû traverser de nombreuses expériences terribles avant que le Dieu de son père Isaac ne devienne son Dieu. Finalement, après de longues années de misère dans un pays étranger, il revenait chez lui. Mais il avait encore peur que son frère Ésaü ne le tue. Il envoya sa famille chez lui au devant, et la Bible dit, « ...et Jacob demeura seul ; et un homme lutta avec lui jusqu’au lever du jour » (Genèse 32:24). Le Dr. John Gill (1697-1771) disait que l' «homme » Jacob lutta avec le Christ pré-incarné. Quand Jacob finalement rencontra Christ, il était seul. Personne ne peut vous accompagner quand vous allez à la conversion. Même dans la sacristie, vous devez aller vers Jésus tout seul.

Après avoir lutté avec Christ toute la nuit, Jacob fut converti. Jésus a dit « Efforcez-vous d'entrer [luttez] » (Luc 13:24). Le terme grec pour « efforcez-vous » est « agonizomai. » En français, comme en anglais, il a le sens d'« agonie. » Cette nuit-là, Jacob passa par l'agonie du moment. Jacob lutta de toutes ses forces [agonisa] pour trouver la bénédiction de Christ. Il dit a Christ, « Je ne te laisserai pas partir, avant que tu ne m’aies béni » (Genèse 32:26). Christ aurait pu aisément le tuer dans cette lutte, mais à la place, Christ le béni et le sauva, et changea le nom de Jacob par Israël (Prince de Dieu). « Et Jacob appela cet endroit Péniel [la face de Dieu] : car j'ai vu Dieu face à face, et mon âme a été sauvée » (Genèse 32:30).

Ô, certains d'entre vous ont lutté avec Jésus ! Quel chaos cela n'a-t-il pas causé dans votre esprit et dans votre cœur ! Saisissez-vous de Jésus. Dites à Jésus, « Je ne te laisserai pas partir, avant que tu ne m’aies béni » (Genèse 32:26). Jésus vous bénira ! Il vous sauvera de votre péché. La Bible dit, « Et il le bénit là » (Genèse 32:29). Il est mort sur la Croix pour payer pour votre péché. Il a versé Son Sang pour vous laver et vous purifier de vos péchés. Il est ressuscité des morts et Il est vivant aujourd'hui pour vous bénir et vous sauver. Quand vous rencontrerez Jésus par la foi, vous verrez combien seul Il est digne d'être aimé, combien seul Il est aimable, dans tout les sens du terme. Puis vous pourrez chanter avec Mr. Griffith,

Jamais il n'y eu de nom aussi doux pour moi,
   Et jamais un nom a-t-il été aussi cher
À mon cœur, que ce nom divin,
   Le précieux, très précieux nom de Jésus.
Jésus est le nom le plus doux que je connaisse,
   Et Il est semblable au doux nom qu'Il porte,
Et c'est pour cela que je L'aime tant ;
   Ô, Jésus est le nom le plus doux que je connaisse.
(«Jésus est le nom le plus doux que je connaisse »
      [Jesus is the Sweetest Name I Know] par Lela Long, 1924).

Chantons ce refrain ensemble. Vous pourrez le chanter avec vérité le jour où vous serez à Jésus et que vous serez sauvé par Lui. Que tous ceux qui sont sauvés chantent avec moi maintenant.

Jésus est le nom le plus doux que je connaisse,
   Et Il est semblable au doux nom qu'Il porte,
Et c'est pour cela que je L'aime tant ;
   Ô, Jésus est le nom le plus doux que je connaisse.

(FIN DU SERMON)
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write to him at P.O. Box 15308, Los Angeles, CA 90015. Or phone him at (818)352-0452.

Écriture avant le sermon lue par le Dr. Kreighton L. Chan : Malachie 1:1-3.
Solo avant le sermon chanté par Mr. Benjamin Kincaid Griffith :
« Jésus est le nom le plus doux que je connaisse »
[Jesus is the Sweetest Name I Know] par Lela Long, 1924.


BREF APERÇU DE

J'AI AIMÉ JACOB,
ET J'AI HAÏ ÉSAÜ

par le Dr. R. L. Hymers, Jr.

« Selon qu'il est écrit, j'ai aimé Jacob et j'ai haï Ésaü »
(Romains 9:13).

(Malachie 1:2, 3; Romains 9:11)

I.   Premièrement, Ésaü était quelqu'un qui ne pensait pas à Dieu,
Hébreux 12:16, 17; Psaume 10:4; Ézéchiel 2:4, 6-7.

II.  Deuxièmement, Jacob était quelqu'un qui pensait vraiment à Dieu,
Genèse 28:15, 16-17; 31:5; 32:24; Luc 13:24; Genèse 32:26, 30, 29.

Note du traducteur : Les citations bibliques proviennent de la version Louis Segond 1910 (libre de droits) et de la Bible KJV (King James Version) ou KJF (en français) – (Traduction en Français, basée sur les textes originaux, le Texte Massorétique Hébreu pour l’Ancien Testament et le Texte Reçu Grec [Texte Majoritaire] pour le Nouveau Testament [2006]).